Astrofiles : Les dossiers de l'astronomie

  • Mercure

    Mercure est un monde très peu hospitalier, dont la surface est criblée de millions de cratères, et qui, de prime abord, ressemble à la Lune. Les variations de température sont impressionnantes : jusqu’à 600°C, du jamais vu dans les autres planètes du Système solaire. À l’équateur, la chaleur étouffante du sol mercurien peut atteindre les 427°C, tandis que la nuit, elles peuvent descendre à -175°c. Mieux vaut ne pas y mettre les pieds : vous y seriez, au choix, grillé ou congelé sur place !
  • Vénus

    Contrairement à ce que son doux nom pourrait laisser entendre, Vénus est un monde très hostile où les températures sont infernales. C’est une planète tellement brûlante qu’elle pourrait faire fondre du plomb à sa surface. Vénus peut être considérée comme l’endroit le plus hostile du système solaire.
  • Neptune

    Dix-sept fois grande comme la Terre, mais de magnitude 7.8, Neptune est invisible à l’œil nu et seule l’invention du télescope aura permis de l’observer. C’eût été un miracle de tomber dessus par hasard. Son orbite est immense, quasi circulaire, mais de plus de quatre milliards et demi de kilomètres.
  • Découverte de la première exo-planète tellurique

    Pendant longtemps, l'existence d'exoplanètes n'a pu être prouvée par l'observation. La distance, mais aussi le manque de luminosité de ces objets célestes si petits en comparaison des étoiles autour desquelles ils orbitent ont rendu la détection impossible. Ce n'est que dans les années 1990 que les premières sont détectées de manière indirecte.
  • Cinquième Partie

    L’aspect étonnamment « créationniste » que suggère le Big Bang — du moins dans sa version naïve — a été à l’origine de nombreuses réflexions, y compris hors des cercles scientifiques, puisque pour la première fois était entrevue la possibilité que la science apporte des éléments de réponse à des domaines jusque là réservés à la philosophie et la théologie.
  • Quatrième Partie

    De plus l’inflaton possède, comme toute forme de matière, des fluctuations quantiques (résultat du principe d'incertitude d'Heisenberg). Une des conséquences inattendues de l’inflation est que ces fluctuations, initialement de nature quantique, évoluent durant la phase d’expansion accélérée pour devenir des variations classiques ordinaires de densité.