Audouin Charles Dollfus était un aéronaute et un astronome français, spécialiste du système solaire et découvreur de Janus, une petite lune de Saturne.
Mercure est un monde très peu hospitalier, dont la surface est criblée de millions de cratères, et qui, de prime abord, ressemble à la Lune. Les variations de température sont impressionnantes : jusqu’à 600°C, du jamais vu dans les autres planètes du Système solaire. À l’équateur, la chaleur étouffante du sol mercurien peut atteindre les 427°C, tandis que la nuit, elles peuvent descendre à -175°c. Mieux vaut ne pas y mettre les pieds : vous y seriez, au choix, grillé ou congelé sur place !
Contrairement à ce que son doux nom pourrait laisser entendre, Vénus est un monde très hostile où les températures sont infernales. C’est une planète tellement brûlante qu’elle pourrait faire fondre du plomb à sa surface. Vénus peut être considérée comme l’endroit le plus hostile du système solaire.
Dix-sept fois grande comme la Terre, mais de magnitude 7.8, Neptune est invisible à l’œil nu et seule l’invention du télescope aura permis de l’observer. C’eût été un miracle de tomber dessus par hasard. Son orbite est immense, quasi circulaire, mais de plus de quatre milliards et demi de kilomètres.
On entend souvent parler de météorites ou encore d’astéroïdes qui se seraient ou qui vont s’écraser sur Terre. Mais d’où viennent ces objets célestes ? Et combien en dénombre-t-on ? Il faut savoir que ces corps sont pour la plupart rassemblés sous forme de cercle gravitant autour du Soleil, et que l’on appelle ceinture principale, ou ceinture d’astéroïdes.
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Faisons un grand saut dans le temps. Nous sommes environ 4,6 milliards d’années avant notre ère. À la place du système solaire actuel se trouve une nébuleuse gigantesque. À l’intérieur de cette nébuleuse, un incroyable spectacle est en train de se produire...
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Pendant longtemps, l'existence d'exoplanètes n'a pu être prouvée par l'observation. La distance, mais aussi le manque de luminosité de ces objets célestes si petits en comparaison des étoiles autour desquelles ils orbitent ont rendu la détection impossible. Ce n'est que dans les années 1990 que les premières sont détectées de manière indirecte.
L’aspect étonnamment « créationniste » que suggère le Big Bang — du moins dans sa version naïve — a été à l’origine de nombreuses réflexions, y compris hors des cercles scientifiques, puisque pour la première fois était entrevue la possibilité que la science apporte des éléments de réponse à des domaines jusque là réservés à la philosophie et la théologie.
De plus l’inflaton possède, comme toute forme de matière, des fluctuations quantiques (résultat du principe d'incertitude d'Heisenberg). Une des conséquences inattendues de l’inflation est que ces fluctuations, initialement de nature quantique, évoluent durant la phase d’expansion accélérée pour devenir des variations classiques ordinaires de densité.
Un nombre croissant d’indications suggère que les forces électromagnétique, faible et forte ne sont que des aspects différents d’une seule et unique interaction. Celle-ci est en général appelée théorie grand unifiée (GUT en anglais, pour Grand Unified Theory), ou grande unification.
Dès la découverte de la force nucléaire forte et du fait que c’était elle qui était la source d’énergie des étoiles, s’est posée la question d’expliquer l’abondance des différents éléments chimiques dans l’univers. Au tournant des années 1950 deux processus expliquant cette abondance étaient en compétition : la nucléosynthèse stellaire et la nucléosynthèse primordiale.
Le Big Bang désigne l’époque dense et chaude qu’aurait connue l’univers il y a environ 13,7 milliards d’années, ainsi que l’ensemble des modèles cosmologiques qui la décrivent, sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire, ni même d'un espace.